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Un bon petit diable

  • Photo du rédacteur: lesplumesdupasse
    lesplumesdupasse
  • 9 juin
  • 2 min de lecture

Un roman pour enfants publié sous forme de feuilleton en 1865, qui nous plonge dans l'Écosse de 1842.

couverture du livre un bon petit diable

L'histoire commence avec Mme Mac'Miche, une femme avare et cruelle, qui trouve son bonheur dans l'accumulation de son or et dans la maltraitance de l'orphelin dont elle a la garde, le jeune Charles.


Soyez donc tranquille, Monsieur le juge ; je l'ai fouetté, c'est vrai, parce qu'il voulait mettre le feu à la maison ce matin ; vous ne savez pas ce que c'est que ce garçon ! Méchant, colère, menteur, paresseux, entêté ; enfin, tous les vices il les a.

Face à cette mégère, Charles fait preuve d'ingéniosité et de malice. Pour survivre à son quotidien difficile, il invente des mauvais tours et des farces audacieuses. Sa détermination à échapper aux griffes de Mme Mac'Miche est à la fois touchante et inspirante.


De sorte que nous terminons l'histoire du Bon petit diable en faisant observer combien la bonté, la piété et la douceur sont des moyens puissants pour corriger les défauts qui semblent être plus incorrigibles. La sévérité rend malheureux et méchant. La bonté attire, adoucit et corrige.

L'œuvre aborde des thèmes importants, tels que la maltraitance des enfants et des animaux, illustrés par la terrible cousine de Charles. Cependant, elle met également en lumière des valeurs positives comme la bienveillance et la sagesse, incarnées par le personnage de Juliette, qui apporte une touche d'espoir au récit.


Je t'offre donc Le Bon Petit Diable escorté de sa Juliette, qui est parvenue à faire d'un vrai diable un jeune homme excellent et charmant, au moyen de cette douceur, de cette bonté chrétienne qui touchent et qui ramènent.

Le récit est globalement sympathique, avec de nombreux passages qui m'ont fait sourire grâce à l'espièglerie de Charles, un petit garçon plein de malice. Toutefois, j'ai ressenti quelques hauts et bas au fil de ma lecture. Le début est prometteur et captivant, mais l'histoire perd un peu de son attrait avec le départ de la cousine, ce qui a atténué mon enthousiasme.


Le juge, M. Blackday et le curé sortirent, laissant Betty, avec deux ou trois amies que l'évènement avait attirées, procéder aux derniers soins à rendre au corps de madame Mac'Miche ; personne ne l'aimait et personne ne la regretta.

Une œuvre charmante qui, malgré quelques fluctuations dans son rythme, réussit à capturer l'esprit d'enfance et à transmettre des leçons de vie précieuses.

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